Bisou

rue du bailli, 35
1050 Saint-Gilles
instagram
du lundi au vendredi
de 8h à 18h
samedi et dimanche
de 9h à 18h
eggs & toast : 9,50€ – 14,50€
brioches perdues : 9,50€ – 13,50€

Des jours qu’on passait devant le miroir collé sur la vitrine des travaux de Bisou, des semaines qu’on entendait parler de toutes ses promesses et qu’on trépignait d’impatience de les découvrir. C’est chose faite, Bisou a enfin ouvert ses portes, avec à sa tête la talentueuse Chloé Sengier – Coco Donuts et Crème – qui a déjà bien plus d’une corde à son arc.

C’est épaulé par le studio d’archi Zazie Maquet que Bisou fait des étincelles – ou plutôt, des frigos à glace en boule à facettes. Avant même d’entamer les travaux, Chloé commence par se former en glaces artisanales chez l’ancien Framboisier Doré. La glace deviendra le produit phare de son milkbar, pas question de prendre ça à la légère. Mais pas question non plus d’être uniquement un glacier. Chloé joue parfaitement avec les codes d’un diner revisité version 2023. Au breakfast burrito viennent s’ajouter Shakshuka (14,50€) et Turkish eggs (14,50€) – pour notre plus grand plaisir. Côté sucré, tout y est. Milkshakes, granola, açai bowls, cookies, banana bread et j’en passe… Mais surtout, on découvre la fantastique brioche perdue signées Bisou – brioche maison, ganache de chocolat praliné, amandes, caramel et fleur de sel (13,50€). C’est bien simple, j’en rêve encore.

Bref, c’est l’endroit dont on rêve pour le petit dej, le dej’, le brunch et le goûter – tous confondus. Et on est ultra ravies de profiter de toutes ces choses dans un cadre si délicat, où les murs en bois foncés et la banquette en velours corail nous donne envie de passer l’après-midi, sans jamais trop s’éloigner des codes du milkbar non plus. On découvre avec ravissement les carrelages en miroir dans les toilettes, on s’émerveille devant le vase citron et celui en forme de fraise, et on ne peut s’empêcher d’imaginer la table bleu clair en forme de nuage chez nous.

Encore une chose, la terrasse ! Comment, mais alors, comment, on n’en avait jamais profité avant ? Cela reste un mystère. Plus aucune raison de s’en priver désormais.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *